Nous constatons que l’ignorance, l’arriération, le non respect du vivant, la négation de la sauvegarde de la biodiversité affectent encore les décideurs confrontés aux addictions destructrices des chasseurs.
En Aquitaine, un préfet autorise des tirs massifs de tourterelles turques pour lutter contre la grippe aviaire, conséquence de l’élevage intensif et concentrationnaire des palmipèdes.
En DORDOGNE, l’administration ouvre la chasse, toute l’année, en mars et tous les jours de juin au prétexte de présence de sangliers, animaux artificiellement et souvent clandestinement introduits pour alimenter le stand de tirs des chasseurs.
La chasse n’est pas la solution, mais le problème en cette affaire.
D’autres obsédés par l’aseptisation de la nature veulent la mort des blaireaux au motif qu’ils véhiculeraient la tuberculose bovine.
Ailleurs, il faut tuer le renard, la nuit, parce qu’il mange des poules, le cormoran parce qu’il mange des poissons, le loup parce qu’il mange des moutons, l’ortolan parce que cela se faisait, l’oie parce qu’il faut bien tuer.
Pour ces esprits obscurantistes et criminels, la disparition de l’avifaune, y compris des petits passereaux, naguère si communs, les équilibres écologiques assurés par les prédateurs, le caractère sensible de tout animal, l’insécurité générée par la chasse dans les campagnes sont des faits ignorés.
Abolissons la chasse, mort loisir, car elle est nuisible et tend à l’anéantissement de la nature.
Donnons à ce pays des décideurs responsables, éclairés, courageux, à l’écoute, à la fois des scientifiques qui s’alarment de la sixième grande extinction d’espèces et de l’immense majorité de nos contemporains désireux de signer la paix avec la faune.
Le grand massacre est une injure faite à l’intelligence et au cœur de l’humain.
En Aquitaine, un préfet autorise des tirs massifs de tourterelles turques pour lutter contre la grippe aviaire, conséquence de l’élevage intensif et concentrationnaire des palmipèdes.
En DORDOGNE, l’administration ouvre la chasse, toute l’année, en mars et tous les jours de juin au prétexte de présence de sangliers, animaux artificiellement et souvent clandestinement introduits pour alimenter le stand de tirs des chasseurs.
La chasse n’est pas la solution, mais le problème en cette affaire.
D’autres obsédés par l’aseptisation de la nature veulent la mort des blaireaux au motif qu’ils véhiculeraient la tuberculose bovine.
Ailleurs, il faut tuer le renard, la nuit, parce qu’il mange des poules, le cormoran parce qu’il mange des poissons, le loup parce qu’il mange des moutons, l’ortolan parce que cela se faisait, l’oie parce qu’il faut bien tuer.
Pour ces esprits obscurantistes et criminels, la disparition de l’avifaune, y compris des petits passereaux, naguère si communs, les équilibres écologiques assurés par les prédateurs, le caractère sensible de tout animal, l’insécurité générée par la chasse dans les campagnes sont des faits ignorés.
Abolissons la chasse, mort loisir, car elle est nuisible et tend à l’anéantissement de la nature.
Donnons à ce pays des décideurs responsables, éclairés, courageux, à l’écoute, à la fois des scientifiques qui s’alarment de la sixième grande extinction d’espèces et de l’immense majorité de nos contemporains désireux de signer la paix avec la faune.
Le grand massacre est une injure faite à l’intelligence et au cœur de l’humain.
Gérard CHAROLLOIS – Président de la Convention Vie et Nature
Non seulement la chasse est une barbarie qui n’a plus lieu d’être mais je pense aussi aux chiens de chasse, qui ont une vie misérable car enfermés dans des conditions plus ou moins confortables une grande partie de l’année puis poussés à chasser sans relâche durant le reste de l’année. Ces chiens n’ont pas beaucoup de valeur pour les chasseurs, ils ne sont que des outils pour leur soif de tuer.